Les infections à papillomavirus sont très fréquentes chez la femme jeune et régressent le plus souvent spontanément. Ainsi, au moins une femme sexuellement active sur deux a été exposée à ces virus au cours de sa vie. Le virus est détecté chez des femmes de moins ans et chez des femmes au-delà de cet âge.
Quels sont les moyens de lutte. Le Human Papillomavirus ( HPV ) est l’une des infections sexuellement transmissibles la plus répandue, chez les femmes mais aussi les hommes : environ à de la population sexuellement active sera en contact avec ce virus au cours de sa vie sexuelle.
Les papillomavirus ( HPV ) sont des virus très contagieux, résistants mais le plus souvent sans danger pour la santé. Ils touchent les femmes comme les hommes, dans toutes les régions du monde. Y a-t-il des effets secondaires ? Le virus du papillome humain (VPH) ou papillomavirus humain désigne plus de 1virus différents, dont la plupart sont des infections sexuellement transmissibles (IST) c. Ils infectent la peau et les muqueuses. On les retrouve le plus souvent au niveau des zones intimes et des voies aérodisgestives supérieures (bouche et gorge).
L’infection à papillomavirus est contagieuse.
Le dépistage du virus HPV se fait par le frottis et le test HPV. Facteurs de risque pour la persistance du PVH et le développement du cancer du col de l’utérus. Type de PVH: oncogénicité du virus. Le cancer du col de l’utérus est le second cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde.
Il survient exclusivement après l’infection par des virus appartenant à la famille des papillomavirus. Un vaccin préventif qui protège contre certains papillomavirus est disponible et permet de. PVH n’ont été développés efficacement que pour les femmes. Dans le cas du cancer du col de l’utérus, le dépistage des lésions précancéreuses est réalisé grâce à un frottis du col de l’utérus chez un(e) gynécologue. Ce sont ces femmes qu’il faut dépister et surveiller.
Ceci ne peut être diagnostiqué que par un examen gynécologique spécialisé avec un frottis de dépistage et éventuellement des examens. Pour certains HPV , appelés HPV à haut risque, ces lésions peuvent évoluer vers un cancer en dix à vingt ans. Néanmoins, si le partenaire est une femme il est fortement recommandé qu’elle bénéficie d’un suivi gynécologique régulier dans le cadre du dépistage du cancer du col utérin. Il faut souvent répéter le traitement.
Enfin, le dépistage, avec notamment un frottis tous les trois ans chez les femmes , reste une démarche indispensable pour être sûre de ne pas être atteint du virus et pour pouvoir se soigner. Chez la femme , examen médical ou suite à un frottis du col de l’utérus.
Complications graves si non traitée : risque de cancer du col de l’utérus pour certains papilloma. Chez l’ homme , par examen médical si des condylomes (verrues) sont visibles. Après ans, il est positif chez environ des femmes , c’est-à-dire chez celles qui, n’ayant pas éliminé le virus après plusieurs années, développent une infection persistante.
Les premiers essais cliniques ont. Bien que le virus peut aussi vivre dans n. L'infestation par HPV est une lésion fréquente chez les femmes dans le monde entier, en Europe, et en France. Cette fréquence varie selon les tranches d'âge, selon les zones géographiques, et selon les méthodes d'analyse.
HPV chez les femmes : fréquence. La présence de HPV augmente également le risque de fausse couche spontanée (FCS). Bonne nouvelle : la vaccination contre le HPV fait disparaître assez rapidement le virus du sperme.
Chez l’homme, par examen médical si des condylomes (verrues) sont visibles. Femmes de moins de ans. On n’a pas recours au test de dépistage du VPH chez les femmes de ce groupe d’âge puisque la plupart des infections au VPH n’engendrent pas d’état précancéreux ni de cancer du col de l’utérus.
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