Mieux comprendre votre asthme avec Asthmeos. Vous voulez savoir si vous souffrez d’asthme éosinophilique ? Le sport est recommandé pour les asthmatiques , car il permet de développer leur capacité pulmonaire et de renforcer leurs muscles respiratoires, comme le diaphragme. Ceci est le cas pour les skieurs de fond par exemple, ou la course.
L’ asthme est une infection inflammatoire chronique des voies aériennes.
Elle se traduit par des quintes de toux, une respiration sifflante, une sensation d’oppression thoracique et des difficultés respiratoires. Asthme et sport : pas de contre-indication, au contraire. Le sport améliore le contrôle de l’ asthme , mais aussi la forme physique et le niveau de tolérance à l’effort. Enfin, l’activité physique participe au bien-être psychologique, avec renforcement de la confiance en soi et de l’estime de soi. Les personnes asthmatiques peuvent pratiquer tous types de sport , même la compétition.
Mark Spitz (natation), Miguel Indurain (cyclisme) ou Justine Henin (tennis), tous asthmatiques, en sont de parfaits exemples ! Les allergènes (acariens, moisissures, pollens, phanères d’animaux), les infections respiratoires (rhumes, bronchites, bronchiolites, pneumonies) et les irritants respiratoires (pollution atmosphérique, tabac) sont des facteurs de risque de la maladie.
La pratique d’une activité physique régulière est recommandée à tous. La seule condition pour la pratique d’une activité physique de loisir ou d’un sport , même en compétition, est d’avoir un asthme bien contrôlé. L’asthme et le sport sont conciliables. On vous dit pourquoi et comment à travers l’expérience de Jean, sportif passionné, et l’avis du Dr Santoni.
Pourtant, asthme et sport ne sont pas incompatibles. Une activité physique adaptée est même bénéfique aux patients à tout âge. Pendant des années, on a cru que le sport était contre-indiqué pour les personnes asthmatiques.
Mais on sait aujourd’hui que c’est faux. Les sports plus intenses comme l’escalade, le ski de fond ou même les sports de combat sont recommandés par les spécialistes. Beaucoup de sportifs asthmatiques constatent.
Si vous voulez continuer à faire du sport à l’extérieur en hiver, adoptez quelques réflexes pour ne pas vous retrouver à bout de souffle. On le sait, les crises d’ asthme peuvent être déclenchées (entre autres) par un effort physique. Il n’est dès lors pas rare que les personnes asthmatiques ne fassent pas de sport.
Il existe des sports plus recommandés que d’autres tels que la natation, la danse ou encore la marche. En revanche, la pratique d’un sport d’endurance de type cyclisme, sport d’hiver ou athlétisme tend à favoriser le déclenchement des crises d’ asthme.
Un cancer évité grâce à un fan ! La différence est encore plus grande chez ceux qui pratiquent des sports d’hiver : des skieurs de fond d’élite et presque autant de patineurs de vitesse et de hockeyeurs. Le sport permet d’acquérir une maîtrise physique et psychologique indispen-sables à la stabilité d’un asthme. A long terme, la personne asthmatique qui ne fume pas conserve au mieux son capital respiratoire. Fréquence des maladies atopiques et sport de haut niveau. Plusieurs enquêtes épidémiologiques ont constaté que la prévalence de l’ asthme et des allergies était anormalement élevée chez les individus pratiquant des sports en compétition, comparés à la population générale.
Un bilan complémentaire : les EFR. Des EFR (Épreuves Fonctionnelles Respiratoires) ne sont pas obligatoires d’un point de vue réglementaire, mais restent fortement conseillées d’un point de vue médical, pour d’une part établir le diagnostic d’ asthme , d’autre part établir le traitement le plus adapté et enfin, permettre d’apprécier l’évolution du handicap respiratoire. Cependant, la maladie ne doit pas empêcher les personnes à exercer une activité physique pratiquée de façon régulière et équilibrée.
C’est pourquoi dans le cyclisme comme dans tous les autres sports je prends toujours le plus grand soin à BIEN expliquer au sportif les aspects santé mais aussi administratifs du traitement de l’ asthme. Cela prend beaucoup de temps, mais c’est ESSENTIEL. Les sports qui comportent des risques en cas d’interruption ou de malaise spontané ne sont cependant pas recommandés, ainsi que les sports qui se pratiquent dans des environnements extrêmes (deltaplane, parachute, alpinisme, etc.).
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